Les conférences de l'UO
« Où va la Wallonie ? »
Le 25 février à 18h
Conférence du Collège Belgique« Où va la Wallonie ? »
Le 25 février à 18h
Jazz, improvisation et société
Le 18 février à 17h
Conférences
UO-UMONS « Où va la Wallonie ? »
« Trajectoires
prospectives de la Wallonie (2016-2036) »
par
Philippe Destatte (Institut Destrée)
Jeudi 25 février 2016 (18h-20h)
Jeudi 25 février 2016 (18h-20h)
L’Université Ouverte de la Fédération Wallonie-Bruxelles et l’UMons organisent conjointement un cycle de conférences durant l’année académique 2015-2016. Dédié à la réflexion et au débat sur les enjeux de développement de la Wallonie, ce cycle pose la question « Où va la Wallonie ? ».
Plusieurs experts ont été invités à discuter de cette vaste thématique lors de quatre conférences entre octobre 2015 et mars 2016. Un débat associant partis politiques et partenaires sociaux sera ensuite organisé en guise de clôture de ce cycle.
Le 25 février prochain, Monsieur Philippe Destatte (Institut Destrée) nous conduira sur les trajectoires prospectives qu’il dessine pour la Wallonie dans les vingt années qui viennent.
Inscriptions gratuites mais souhaitées.
Adresse : Auditorium « Paul Verlaine » (Palais du Verre)
Boulevard Paul Janson, 87 à 6000 Charleroi
(Entrée par le Boulevard Alfred de Fontaine)
Contact : Gaëtane Brigano : brigano.gaetane@uo-fwb.be – 071/532 906
Dernière minute
Personne de confiance
Permettre d’acquérir les compétences et connaissances
nécessaires à l’accomplissement de leur rôle (et visées à l’article 60 de
l’arrêté royal du 10 avril 2014).
L'info de nos
partenaires
La Faculté ouverte de politique économique et sociale
(FOPES-UCL) organise, en collaboration avec l’Université Ouverte de la
fédération Wallonie-Bruxelles, un master universitaire accessible grâce à la
« Valorisation des acquis de l'expérience »
Conférence du Collège Belgique
Jazz, improvisation et société
Ce cours-conférence propose un
dialogue, une rencontre entre deux formes d’expression, celle du texte et de la
musique. Steve Houben s’est livré à l’exercice de répondre au propos de
Jean-Pol Schroeder, en interprétant quelques oeuvres du répertoire. Ensemble,
ils tentent de donner leur définition de cet art singulier qu’est le jazz.
Plus largement, il y est question de l’art tout court, et des rapports qu’entretiennent l’art et le monde. De la manière dont l’art dit le monde. De la manière dont il l’interpelle ou le contredit. De la manière dont il rétroagit sur ce monde. Autant de questions qui n’ont de sens que si l’on a répondu au préalable à cette interrogation fondamentale : l’art a-t-il une quelconque légitimité à dire le monde, à le contredire, à le modeler ?
Musique différente des autres, le jazz ne permettrait-il pas un éclairage nouveau sur cette problématique du dit de l’art ? La chose semble aller de soi, et pourtant, aussi étrange que cela puisse paraître, aborder le jazz sous l’angle politique est encore parfois considéré comme une entreprise suspecte. S’esquinter à vouloir voir en lui autre chose qu’une expression musicale (fut-elle révolutionnaire), revient à s’exposer aux foudres des bien-pensants. Si la musique se joue à plusieurs, elle implique et interroge ce vivre ensemble dont se gargarisent les médias. Et par-delà ce vivre ensemble, elle touche à la question du pouvoir et de ses outils. À la question du sens. Et le sens n’est jamais affaire de spécialisation.
Plus largement, il y est question de l’art tout court, et des rapports qu’entretiennent l’art et le monde. De la manière dont l’art dit le monde. De la manière dont il l’interpelle ou le contredit. De la manière dont il rétroagit sur ce monde. Autant de questions qui n’ont de sens que si l’on a répondu au préalable à cette interrogation fondamentale : l’art a-t-il une quelconque légitimité à dire le monde, à le contredire, à le modeler ?
Musique différente des autres, le jazz ne permettrait-il pas un éclairage nouveau sur cette problématique du dit de l’art ? La chose semble aller de soi, et pourtant, aussi étrange que cela puisse paraître, aborder le jazz sous l’angle politique est encore parfois considéré comme une entreprise suspecte. S’esquinter à vouloir voir en lui autre chose qu’une expression musicale (fut-elle révolutionnaire), revient à s’exposer aux foudres des bien-pensants. Si la musique se joue à plusieurs, elle implique et interroge ce vivre ensemble dont se gargarisent les médias. Et par-delà ce vivre ensemble, elle touche à la question du pouvoir et de ses outils. À la question du sens. Et le sens n’est jamais affaire de spécialisation.
Les éditions de l'UO
La croissance : réalités et perspectives, Actes du 21e Congrès
des économistes, Charleroi : Éditions de l’Université Ouverte, 2015.
Prix : 34,10€ (Frais de port de 5,10€ compris)
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